Flavio Werneck Meneguelli
17 octobre 2019 – Compléments d’informations sur le livre « Brésil – Corruption, trafic, violence, criminalité : vers la fin du cauchemar ? » codirigé par Nicolas Dolo et Bruno Racouchot
Le livre Brésil – Corruption, trafic, violence, criminalité : vers la fin du cauchemar ? (éditions Eska, août 2019) que nous avons codirigé avec Nicolas Dolo et où interviennent une quinzaine d’experts français et brésiliens, a donné lieu récemment à plusieurs émissions et articles de fond. Voici les sources auxquelles vous pouvez les consulter pour approfondir votre approche de la question : Lire la suite
N° 103 – Septembre 2019 – Brésil, réalité criminelle et guerre informationnelle
Brésil – Corruption, trafic, violence, criminalité : vers la fin du cauchemar ? est un livre-enquête paru cet été [Editions Eska], que j’ai codirigé avec Nicolas Dolo. Une quinzaine de spécialistes, français et brésiliens, nous ont accompagnés dans cette aventure éditoriale. Venant d’horizons très divers, tous s’accordent à dire qu’il y a une profonde mécompréhension du réel brésilien. D’où une question-clé : comment s’articulent les rapports entre réalité criminelle et perception informationnelle ? Lire la suite
N° 96 – Septembre 2018 – Brésil : violence, puissance et influence
Alors qu’au Brésil, approchent les échéances électorales capitales d’octobre 2018, le n°96 de Communication & Influence présente trois entretiens que j’ai réalisés au profit de la revue de géopolitique Conflits. Comme invités, des personnalités brésiliennes de haut rang, venues d’horizons différents, mais ayant en commun d’aimer la France. Docteur en économie de Princeton, Carlos-Ivan Simonsen est le président de la fondation Gétulio Vargas, une institution-clé dans la vie politique et économique brésilienne. Flavio Werneck Meneguelli est le vice-président de la puissante Fédération nationale des policiers fédéraux, donc bien placé pour parler du problème n°1 du Brésil, à savoir le risque de naufrage de la huitième économie mondiale dans un univers totalement criminalisé. Enfin, José Bustani, diplomate de haut rang longtemps proche de « Lula », qui fut ambassadeur du Brésil en France (2007-2015), se révèle être sans doute le plus gaullien des Brésiliens. Il fut l’homme qui aurait pu empêcher la seconde guerre d’Irak. Son témoignage est édifiant en ce qui concerne les manœuvres d’influence, d’intimidation et de manipulation dans la sphère diplomatique. Il montre aussi les limites du soft power quand ce dernier se trouve confronté à la violence pure. Lire la suite