Livre blanc
04 février 2013 – Sahel et Afghanistan : facteur temps et « soft-power »
Le propre des stratégies d’influence est de se penser et se réaliser sur le long terme. Cela vaut pour les entreprises comme pour les institutions, trop souvent prisonnières du court-termisme. A cet égard, le colonel (ER) René Cagnat, chercheur associé à l’IRIS (Institut de relations internationales et stratégiques) et spécialiste reconnu de l’Asie centrale, nous met en garde contre une mauvaise utilisation du facteur temps dans les opérations extérieures. Dans un article récent de janvier 2013, Guerre et pacification au Sahel à la lumière de l’expérience afghane : Conséquences pour le Livre blanc, il s’interroge : comment bâtir une intervention solide quand la plupart des cadres et la troupe sont renouvelés tous les six mois ? Lire la suite
N° 20 – Juin 2010 – « Quelle stratégie d’influence en appui aux opérations militaires ? »
Ce numéro spécial de Communication & Influence est intégralement consacré au colloque qui s’est tenu le 15 juin dernier à l’Ecole militaire à Paris, dont le thème central était : « Quelle stratégie d’influence en appui aux opérations militaires ? ». Nous en présentons ici quelques extraits, significatifs de l’évolution de la pensée stratégique française. De fait, un colloque de ce type constitue une première et se révèle riche d’enseignements, aussi bien pour les théâtres d’opérations extérieures que pour la guerre économique. Tant l’allocution prononcée en ouverture par le général de division aérienne Guillaume Gelée, directeur du CICDE – Centre Interarmées de Concepts, de Doctrines et d’Expérimentations – que l’analyse conduite par le colonel François Chauvancy, intéresseront l’ensemble des décideurs des mondes civil et militaire.
Cités dans ce numéro : Frédéric Charillon, Colonel François Chauvancy, Général de division aérienne Guillaume Gelée, Alain Juillet, Emmanuel Kant, Général Stanley McChrystal, Jean-Marie Messier.